Une diapo. réaliste et choquante!
30 oct. 2010
Article du Jeudi 06 Nov. 2008 // Marianne.
Iles féroé : le massacre des dauphins pour le «fun»
Les Iles Féroé se vantent d'être restées «simples» et «authentiques».
De fait, la civilisation n'a apparemment pas réussi à «pervertir» ses habitants qui, chaque année, font preuve d'une barbarie très simple et très authentique… en massacrant des dauphins.
Voilà ce qu’on peut lire sur le site officiel d’un chapelet d’îles danoises qui, à l’écart des grands flux touristiques, se félicitent d’avoir conservé la culture et la langue originelles:
«Les îles Féroé sont l'un des derniers coins d'Europe où l'on trouve encore ce que la plupart des gens passent leur vie à rechercher ailleurs : un vrai sentiment de proximité avec ce qui les entoure, au creux de la nature, dans une réelle paix de l'âme».
Diable, cette paix de l’âme humaine, la faune marine la paye cher,
si on en juge par ce reportage photos. Chaque année, pour se prouver leur virilité,
de jeunes garçons procèdent, au cours d'une prétendue cérémonie initiatique,
à un massacre de dauphins Calderon.
En fait de virilité, ces mauviettes s’attaquent à des proies faciles.
Les dauphins ont beau être très intelligents, ils n’arrivent pas à concevoir une cruauté pareille. Les bêtes curieuses s’approchent innocemment du rivage pour voir de plus près à quoi ressemblent les animaux en combinaisons de caoutchouc qui s’aventurent dans l’eau sur deux jambes.
C’est alors que les jeunes gens sortent leur couteau et les égorgent.
Ni vus, ni connus ! Aux marges septentrionales, les îles Féroé sont des terres très peu visitées. Quand vous téléphonez à l’ambassade du Danemark pour demander des explications,
on vous répond que l’on vous rappellera.
Vous proposez d’envoyer des photos du bain de sang ?
On vous dit d'un air blasé: «pas la peine, nous en recevons tous les jours».
Et l'office du tourisme de vanter: « Tout respire l'authenticité.
Pas de folklore abâtardissant, même le jour de la fête nationale, mais une singulière et sereine simplicité». Dans la barbarie aussi. Il faut arrêter cette pure folie.
Passez le message.
Les Iles Féroé se vantent d'être restées «simples» et «authentiques».
De fait, la civilisation n'a apparemment pas réussi à «pervertir» ses habitants qui, chaque année, font preuve d'une barbarie très simple et très authentique… en massacrant des dauphins.
Voilà ce qu’on peut lire sur le site officiel d’un chapelet d’îles danoises qui, à l’écart des grands flux touristiques, se félicitent d’avoir conservé la culture et la langue originelles:
«Les îles Féroé sont l'un des derniers coins d'Europe où l'on trouve encore ce que la plupart des gens passent leur vie à rechercher ailleurs : un vrai sentiment de proximité avec ce qui les entoure, au creux de la nature, dans une réelle paix de l'âme».
Diable, cette paix de l’âme humaine, la faune marine la paye cher,
si on en juge par ce reportage photos. Chaque année, pour se prouver leur virilité,
de jeunes garçons procèdent, au cours d'une prétendue cérémonie initiatique,
à un massacre de dauphins Calderon.
En fait de virilité, ces mauviettes s’attaquent à des proies faciles.
Les dauphins ont beau être très intelligents, ils n’arrivent pas à concevoir une cruauté pareille. Les bêtes curieuses s’approchent innocemment du rivage pour voir de plus près à quoi ressemblent les animaux en combinaisons de caoutchouc qui s’aventurent dans l’eau sur deux jambes.
C’est alors que les jeunes gens sortent leur couteau et les égorgent.
Ni vus, ni connus ! Aux marges septentrionales, les îles Féroé sont des terres très peu visitées. Quand vous téléphonez à l’ambassade du Danemark pour demander des explications,
on vous répond que l’on vous rappellera.
Vous proposez d’envoyer des photos du bain de sang ?
On vous dit d'un air blasé: «pas la peine, nous en recevons tous les jours».
Et l'office du tourisme de vanter: « Tout respire l'authenticité.
Pas de folklore abâtardissant, même le jour de la fête nationale, mais une singulière et sereine simplicité». Dans la barbarie aussi. Il faut arrêter cette pure folie.
Passez le message.
29 oct. 2010
MY FRIEND ...
http://www.youtube.com/watch?v=k62kc07m1Dc
My friend is so much fun
He's always playing tricks on people
He's so smart, in fact he's one of the most inteligent beings on the planet
This friend can naturally see through me & i'm not kiding!
My friend races sailboats and always wins
My friend has no problem hitting a high note
My friend surfs waves 25 feet high, with no board.
This friend can understand us, but we can't understand him
HE SAVES LIVES ...
he saved humans lives.)
& he's always smiling, but that doesn't mean that his always happy.
MY FRIEND DOESN'T BELONG IN CAPTIVITY...
HIS HOME IS IN THE OCEAN.
BUT my friend is in serious trouble, in fact he's figthing for his life, right now!
RIGHT NOW!
(....)
Retour à la chasse à la tortue. Polynésie Française
1° Autoriser la chasse, d'espèces en voie de disparition! c'est un crime contre l'éco-système, une abomination, comme on en voit partout dans le monde, mais non, celle-ci est différente! c'est CHEZ NOUS!
2° Les raisons de Mme la ministre: ha! autorisons la chasse à la tortue, pour lutter contre le braconage. Rien de plus logique: évidement qu'il n'y aura plus de braconage, si la pêche est autorisée!
3° Imposer des quotas! déjà qu'avec une interdiction de pêcher, les tahitiens ont pratiqués le braconage intensif, donc ce n'est pas en imposant un quota que l'on changera les choses! c'est complétement ridicule! ça ne servira même pas à réguler la consommation!
Il faut insisté sur l'éducation! Faire appel au civisme! Faire de la prévention intensive! Choqué les gens! Donner des chiffres! Et pour ceux qui ne veulent pas comprendre LA PRISON!
4° Après ne venez pas nous parlez de culture! vous parlez de ce que vous connaissez à peine! LA CULTURE Tahitienne, tu peux me dire où tu la vois, toi? à part pour le heiva & les courses de va'a? même nous jeunes d'aujourd'hui, on peut vous dire qu'il n'en reste rien du tout! (soit dit en passant vous l'avez détruite volontier aussi, tout remettre sur le dos de la colonisation ça devient un peu fort là! vous vous êtes bien laissez faire!)
"La tortue était un mets réservé aux Ari'i et n'était consommée qu'en période d'abondance et peandant les fêtes, ainsi quiconque osait en manger (hors période d'abondance!!!) et ne possedant pas le titre de Ari'i, était EXECUTE!!!"
Ne venez pas nous dire que vous manger la tortue pour perpétrer la culture! Vous n'êtes pas des Ari'i et nous ne sommes plus au temps des 'castes'!
5° On est un pays démocratique, qui fait des lois pour la préservation des espèces en voie de disparition, nous avons cette chance là, NOUS! et voilà ce que ça donne! du maau.
6° Nous avons choisit cette société de consomation, VOUS l'avez choisit! Alors comme un ami l'a entendu à la radio, il y a peu! Vous parlez de culture polynésienne et vous consommer Mc do, pratiquement tout les jours! Bientôt, on pourra commander une tortue frites roquefort sur les roulottes de Vaiete! ha!
POUR PLUS D'INFORMATIONS, suivez les liens:
http://lesnouvelles.pf/fenua/societe/8106-les-quotas-accueillis-froidement.html
http://www.routard.com/forum_message/2356856/polynesie_ouverture_de_la_chasse_a_la_tortue_marine_.htm
http://news.suite101.fr/article.cfm/les-tortues-marines-de-polynesie-menacees-par-le-gouvernement--a20053
http://www.lesnouvelles.pf/fenua/societe/8096-le-retour-de-la-chasse-a-la-tortue.html
Taiji, La baie de la honte. JAPAN
Entre Septembre et Mars (soit 6 mois de l'année) : Taiji, une petite baie située dans la préfecture de Wakayama au Japon, et qui de plus fait partie d'un parc naturel national, est chaque année le théatre du massacre de plusieurs milliers de dauphins.
Les pêcheurs locaux forment d'énormes regrouprements de dauphins, en usant de la sensibilité de leurs sonars, les désorientent, pour ainsi les rabattre vers de grands filets de pêches, lesquels les emprisonnes dans la baie.
Et c'est ainsi que débute le cauchemar interminable de ces animaux sans défenses face aux armes humaines, les pêcheurs effectuent froidement, un tri de dauphins, et sélectionnent ainsi les plus beaux et plus agiles, dans le but de les revendre aux delphinariums: "Un dauphin vivant, vaut beaucoup plus qu'un dauphin mort! ", ils peuvent les vendre jusqu'à 150 000$. Les dresseurs de dauphins (de différents delphinariums, en besoin de nouvelles 'bête') assitent à la scène, et choisissent eux même les dauphins, qui vivront le reste de leur vie en captivité .
LE RESTE est destiné à être consommé, leur chair est vendu par kilos sur les étales des marchés, en restaurant, et même dans les cantines scolaires!
Un dauphin mort vaut 600$.
Ils ne sont pas tués de manières instantanée, NON!, ils sont d'abord extirpés hors de l'eau, pour être ensuite traînés sur le macadam, et égorgés vifs , leur agonie se prolongeant de longues minutes insoutenables à regarder...
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